Le Mur Nantes

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Février 2024

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6 Boulevard Léon Bureau
44200 NANTES

INAUGURATION

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Un espace de création dédié à l’art urbain, au cœur de l’île de la création.

La troisième saison du projet Le Mur Nantes a été marquée par la présence d’artistes venus de toute part pour proposer des œuvres uniques et percutantes : Alfe (Marseille), Matthieu Pommier (Bordeaux), Soem (Nantes), Iota (Bruxelles). Avant eux, pas moins de 7 artistes avaient peint durant les deux saisons précédentes. 

La direction artistique, pilotée par l’équipe de Plus de Couleurs, reste la même. Mélange de style et de technique, artistes confirmés ou émergents, valorisation des différents styles picturaux présents dans l’art urbain et enchaînement permettant une forte cassure visuelle. C’est cette recette inchangée qui permet au projet et aux artistes de gagner en visibilité et d’être toujours au plus près du public. Depuis quelques années, nous travaillons avec Le collectif d’historienne de l’art Les Têtes Renversantes. Création de contenus ludiques, visites guidées, animations lors des inaugurations, de nombreuses actions de médiation sont proposées au public tout au long de l’année.

A travers ce projet, Plus de Couleurs souhaite proposer de l’art accessible à tous, créer la surprise et animer la ville tout en mettant en lumière la diversité de l’art urbain actuel.

N.O.Madski #12

  

Pour cette nouvelle édition, le Mur Nantes a invité l’artiste allemand Nomad à investir le mur de Trempo. 

Baignant dans l’univers du graffiti depuis son adolescence, Nomad est considéré comme une référence dans son milieu. Conscient que son travail sur mur n’aurait la même force et le même impact sur toile, il construit alors un nouveau vocabulaire plastique nourri par le graffiti. 

Comme dans un cheminement inversé, Nomad est reparti de ces toiles pour imaginer le Mur Nantes. A l’aide d’un logiciel, il a assemblé, superposé et pixelisé des parties peintures existantes. Il compose alors un univers de science-fiction où le paysage a subi un bug informatique. L’artiste plonge le spectateur dans un monde parallèle à la fois merveilleux et terrifiant. Au milieu de cet atmosphère verdoyant, une figure jaune imposante domine la composition. Elle représente une porte magique et attirante qui permettrait de passer dans un second univers. 

En regardant attentivement cette forme, un œil averti, qui possède notamment les codes du graffiti, va déceler des informations supplémentaires. Une sorte de code secret accessible uniquement aux connaisseurs. Les grands totems jaunes et oranges qui représentent des figures sont construites à partir de son blaze. L’artiste distort, étire, stylise tellement ses lettres qu’elles deviennent abstraites.

Nomad souhaite conserver des références au graffiti dans ces œuvres muralistes. Ainsi cet univers qui mêle science-fiction et éléments cryptés est en réalité une métaphore du monde du graffiti. Un monde parallèle qui possède ses propres codes, son propre langage et son propre regard sur la ville. Il nomme ainsi cette typologie de peinture “Kryptograff”. 

Texte par Elodie Evezard – Les Têtes Renversantes

Photos : @elohize.digi

Selah_Abstract graffiti Nantes

IOTA #11

     Pour la onzième édition du Mur Nantes, le collectif Plus de Couleurs invite l’artiste belge IOTA à investir l’un des murs de Trempo. 

L’artiste plonge le public dans un univers futuriste où l’être humain s’efface progressivement. La composition en trois parties montre trois espaces/états différents. À gauche, le visage apaisé d’un personnage de profil accueille le regard. Aucun élément ne permet de l’identifier, il pourrait s’agir de chacun de nous ou d’un être androïde. Cet humain semble fusionner avec les formes géométriques inspirées des pierres de quartz de la deuxième partie. Ces dernières finissent par disparaître dans l’imposant aplat de couleur sombre (bleu-violet).Cette zone, qui contraste avec le bouillonnement des minéraux, stabilise la composition. Chacun des éléments est relié aux autres par la couleur : une déclinaison autour d’un bleu glacial dérivant du blanc vers le noir. 

Cette œuvre est représentative du travail mené par Iota  depuis deux ans. Elle questionne ce qu’elle nomme “une dualité intérieure”. Sa composition se construit ainsi autour des oppositions. Les formes minérales qui symbolisent la force, l’énergie et la puissance, répondent à la douceur d’un visage ovale et réconfortant.

Les couleurs rappellent le feu et la glace, deux éléments naturels qui se détruisent. Le orange ou le rouge exprime la passion tandis que le bleu glacial apaise les esprits et renvoie à un état introspectif. Cette œuvre est un prétexte à explorer les émotions et états intérieurs de l’artiste. Iota cherche dans ses dernières productions à parvenir à un équilibre, une symbiose entre deux états d’esprit contradictoires mais bien présents. De composition en composition, les couleurs froides laissent la place à une atmosphère plus chaude.

Texte par Elodie Evezard – Les Têtes Renversantes

Photos : @elohize.digi

Selah_Abstract graffiti Nantes

SOEM #10

Pour cette nouvelle édition du Mur Nantes, le collectif Plus de Couleurs invite SoemOne à investir l’immense surface du mur de Trempo. 

Musique issue de la nouvelle scène de jazz londonienne dans les oreilles, SoemOne se laisse envahir par l’énergie de ce flow pour créer. Sur un fond noir uniforme, il peint de grandes courbes à l’acrylique blanche épaisse. Ces spirales, qui se répètent à l’infini, paraissent incontrôlables. Elles rythment la composition et explosent sur le mur en feu d’artifice. L’énergie déployée et la rapidité d’exécution se devinent à la fois par l’accumulation des traits et par les traces d’accident, comme les dégoulinures ou les éclaboussures. 

L’artiste parvient, par le biais de cette abstraction gestuelle, à retrouver la même énergie qu’il déploie lors de ses graffitis ou de ses tags. Il maîtrise parfaitement son geste et arrive à l’aide d’une perche et d’un rouleau à tracer des cercles quasiment identiques. 

Cependant, les dimensions du mur l’oblige à adapter sa manière de travailler. Contrairement à une approche sur toile ou sur un mur de taille humaine, la surface imposante de Trempo ne lui permet pas de prendre rapidement du recul. Une fois “perché” sur sa nacelle, à plusieurs mètres du sol, SoemOne perd la vision d’ensemble. Pour pallier cette contrainte, il expérimente un premier tracé spontané à la peinture grise. Ce dessin préparatoire, parfois encore visible dans la production finale, lui permet de vérifier l’équilibre et d’harmoniser sa composition. Une fois cette esquisse validée, il repasse ses premiers traits en blanc et ajoute à certains endroits de l’épaisseur afin d’apporter de nouvelles textures.


Texte par Elodie Evezard – Les Têtes Renversantes

Photos : @elohize.digi

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MATTHIEU POMMIER #9

Pour le 2e projet de la 3e saison du MUR Nantes Matthieu Pommier (Matth Velvet) est invité à investir la façade de Trempo.

Le format panoramique inspire à l’artiste une scène portuaire dominée par l’épave d’un bateau de charge. Ses lignes obliques dynamisent l’horizontalité de la composition et animent la surface. Un fort contraste de couleur oppose la partie gauche et la partie droite. D’un côté le jaune irradie et se décline en nuances orangées et vertes, de l’autre le bleu profond, tirant sur le violet, rempli l’espace. La technique de Matthieu Pommier se caractérise par une superposition de couches de peinture qui sert à nuancer chaque teinte. La vibration colorée est aussi travaillée par des hachures et une fragmentation de la couleur qui permettent de traduire les ondes et les reflets de l’eau.

La scène représentée ressemble assez à une carte postale de vacances. Mais à bien y regarder elle présente différentes incongruités qui ouvrent la voie à l’imagination. Sur l’épave se dresse une habitation de bois qui détourne l’usage du bateau, le transformant en refuge. A gauche, quatre personnages, mi-pêcheurs, mi-musiciens, sont peut-être les habituels occupants de cette cabane flottante. Leurs instruments (cuivres et tambour) laissent imaginer les sons tonitruants d’une fanfare ou bien ceux plus lancinants d’une marche funèbre. Ces musiciens, concentrés ou recueillis, semblent indifférents à la montée de l’eau dans laquelle ils pataugent déjà.

 

Les représentations de bateaux, ports et bords de mer sont récurrentes dans l’œuvre de Matthieu Pommier et s’inspirent de ses séjours en Bretagne. La dimension plus onirique est donnée par les couleurs expressionnistes, la stylisation des volumes et par l’absurdité de la situation représentée.


Texte par Elodie Evezard – Les Têtes Renversantes

Photos : @elohize.digi

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ALFE #8

L’artiste marseillais Alfe réalise pour ce 8ème mur une fresque abstraite composée d’une superposition d’éléments colorés qui donne une luminosité particulière à l’ensemble. 

Élaboré en 3 étapes majeures, la première phase de son travail consiste à placer les éléments du fond. Pour remplir l’impressionnante surface du mur (22m x 6m), l’artiste utilise un Airless peinture. Ce pistolet à basse pression permet de remplir rapidement de grandes surfaces et offre un rendu proche de la bombe aérosol. Dans un geste continu, il dispose ainsi les imposantes zones jaunes. En variant la distance entre le pistolet et le mur, Alfe expérimente des rendus très différents : zones floues, traits en zigzags noirs… Cette gestuelle instinctive contraste avec les aplats nets travaillés au rouleau. Ce changement d’outils et de rendu divisent la composition en 2 parties. 

Cette délimitation est appuyée par le cadre bleu à droite du mur. Peint dans un second temps, cet élément apparaît comme un tableau dans le tableau. À l’intérieur de cette zone, un geste rapide et spontané s’exprime à nouveau. L’artiste y multiplie les outils, pinceaux, rouleaux, bombes, chacun apportant sa spécificité. 

En miroir inversé, un petit rectangle bleu est positionné de l’autre côté du mur. La même gamme chromatique et les mêmes formes se retrouvent des deux côtés du mur. Alfe imagine alors sa composition comme un morceau de musique, une sorte de boucle répétitive enregistrée avec une loop station. Au sein de cette rythmique, un trait discontinu rose crée une dissonance similaire à un « son aigu »  selon l’artiste.

Une fois ces éléments formels et colorés posés, l’artiste apporte les dernières notes à sa composition. Pour équilibrer l’ensemble, il ajoute des touches comme les points jaunes et roses en bas à gauche. Une fresque abstraite, colorée et spontanée se dévoile sous les yeux des promeneurs. 

Texte par Elodie Evezard – Les Têtes Renversantes

Photos : @elohize.digi

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YUBIA #7

Pour cette nouvelle fresque, le collectif nantais Plus de couleurs invite l’artiste espagnole Yubia. Ici, elle embarque le spectateur dans un univers pop et coloré.

Yubia agrémente cet univers avec des références à la culture du graffiti. Le petit wagon aux yeux malicieux est un clin d’œil aux wagons des trains de Tokyo et à l’apparition des premiers graff sur les métros new-yorkais. La flèche jaune, revue à la manière Yubia, renvoie au style « Wild Style », developpé dans les années 90. Ces éléments sont complétés par les outils typiques de la pratique du graff : marqueurs, stylos et aérosols.

Yubia s’approprie cette histoire et impose ses propres codes. Ainsi, une partie des formes présentes dans sa composition servent à rendre son blaze visuel : le Y avec la première main à gauche, le U glissé derrière la bombe de peinture, le I avec le crayon de papier et le A, matérialisé par le geste inversé de la seconde main. Seul le B semble avoir disparu, à moins qu’il ne soit couché et que ses boucles soient les cerises rouges centrales ?

Ces même petites cerises associées aux ongles rouges permettent à Yubia de revendiquer sa place de femme dans le milieu encore très masculin du graffiti. 

Texte par Elodie Evezard – Les Têtes Renversantes

Photos : @elohize.digi

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LESGENS #6

Le sixième mur est dédié uniquement au graffiti, cette fois, pas de pinceaux ni de rouleaux, que de la bombe !

LesGens est un graffeur nantais originaire d’Orléans. Depuis plus de 20 ans, il manie la bombe avec précision afin de créer toute sorte de graff. Adepte du traditionnel noir et chrome, le graffeur peut aussi nous emmener vers des fresques plus funky et colorées, en faisant du blockletter ou du wildstyle. LesGens est un artiste hétéroclite qui manie parfaitement son art.

Le graffeur a profité de l’opportunité de peindre sur la façade de Trempo pour proposer un graffiti utilisant les codes classiques de cette pratique : block letter, noir et chrome, implantation dans l’espace public.

 


Photos : @elohize.digi

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ZEKLO #5

Pour cette 5ème édition du MUR Nantes, le collectif Plus de couleurs a fait appel à l’artiste Zeklo. L’artiste a imaginé deux personnes à cheval l’une derrière l’autre dans une promenade bucolique. 

Les traits quasi géométriques des visages soulignent une ossature et un cou massifs presque masculins. Le personnage au centre apparait comme un chevalier androgyne venu tout droit de l’univers des préraphaélites. Ce groupe artistique anglais au 19e siècle est très présent dans la démarche de Zeklo. Il s’inspire particulièrement de l’artiste Dante Gabriel Rossetti qui a su décliner le même visage de tableaux en tableaux et créer un nouvel idéal de beauté sensuel et androgyne en s’appuyant sur l’art médiéval. 

Nos deux cavalières sont représentées dans une nature aux couleurs vives. Derrière-elles les aplats jaunes pale et vert suggèrent la végétation. Sur la partie droite du mur, deux pivoines imposantes captent le regard. Leur forme épurée rappellent celles déclinées sur les estampes japonaises diffusées largement au 19e siècle. 

Texte : Les Têtes Renversantes
Photos : @elohize.digi

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BIMS #4

Sur une surface lumineuse et intense apparaissent des formes géométriques simples. BIMS structure sa composition en trois parties à la manière de cases de bande dessinée.

Sur la gauche, au milieu des cercles et des triangles, plusieurs lettres se dessinent. Le mot TAKE se dévoile sous le regard des initiés. La barre du T, d’un rouge vif, se distingue en haut du mur. Les autres lettres suivent, révélant la fin du mot. Dans la seconde partie, parmi la boule lumineuse et l’ombre du mythique bus de Trempo, le chiffre 10 apparaît. Enfin, une dernière zone plus petite et travaillée en aplat, vient clore la composition.

L’artiste invite le spectateur à prendre 10 minutes pour observer la réalisation.Inspiré par l’album de jazz de Paul Desmond sorti en 1968 et intitulé Take Ten, BIMS peint hanté par ce morceau qui lui trotte dans la tête. Mauvais musicien, comme il le souligne, il conjugue pourtant ici la musique et la peinture en proposant au public un moment de pure contemplation. La lumière aveuglante en bas de la composition capte et pose le regard. Des jeux de couleurs et de matières viennent alors faire vibrer la composition. 

Texte : Les Têtes Renversantes
Photos : @elohize.digi

Selah_Abstract graffiti Nantes

SHANE #3

Dans un intérieur surchargé et ouvert au regard du spectateur évoluent des objets disparates, des sculptures étranges, des personnages inanimés et une nature luxuriante.

Au premier plan, les chaises revisitées de Le Corbusier et Mies Van der Rohe nous invitent à prendre place. Autour d’elles, la présence d’objets aux formes démesurées apportent une étrangeté à la scène. La sculpture en forme de S qui trône fièrement au milieu du salon évoque l’identité de l’artiste : SHANE. À côté de son initiale, des hommages à des peintres d’avant-garde rythment la composition. À droite, la silhouette de la femme, peinte en blanc, renvoie à la fameuse Venus de Milo mais aussi aux Nus bleus d’Henri Matisse. En haut à droite, la suspension rappelle l’une des œuvres emblématiques de Pablo Picasso Guernica.

Cet intérieur, à la fois universel par ces objets et références artistiques mais également personnel par ces choix est un fantasme de l’appartement idéal. Ce lieu témoigne de longs mois de confinement où se sont entreposés les projets et les idées laissés en attente. L’espace semble figé dans le passé mais la lumière intense, les couleurs pop et l’absence de présence humaine laissent envisager la liberté regagnée par son habitant.

Texte : Les Têtes Renversantes
Photos : ©Elohize.digi

Selah_Abstract graffiti Nantes

selah #2

Cette peinture abstraite est le résultat d’un protocole mis en place par l’artiste.

À son arrivée à Nantes, Selah se présente sans croquis ou dessins préalables. Appareil photo sous le bras, il sillonne les rues et arrête son regard sur ce qui compose ce quartier en mutation. Il déambule à la recherche de formes et de textures pour les archiver tel un “herbier urbain”. Autant d’éléments qui passent inaperçus pour la plupart d’entre-nous mais qui sont une source d’inspiration pour l’artiste.

Selah revient, pour le projet Le Mur, dans une ville qu’il connaît bien. C’est pendant ses études de graphisme à Nantes qu’il commence le graffiti. Il teste et met à profit ses cours sur des murs de plus en plus imposants. Son travail évolue progressivement vers des formes abstraites répondant à l’environnement urbain. “[…] entre l’abstraction pure et la combinaison d’éléments figuratifs formels récoltés dans la rue”, la ville devient sa source d’imagerie. Elle lui fournit matières, supports et même outils de création.


Texte : Les Têtes Renversantes
Photos : ©Elohize.digi

Selah_Abstract graffiti Nantes

rouge #1

ROUGE expose sur Le Mur Nantes, le travail domestique et héroïque des petites mains.

Elle met en valeur la banalité du quotidien en traitant à certains endroits un simple linge comme un drapé vertigineux qui rappelle ceux des peintures anciennes. La splendeur des couleurs et des tissus nous fait presque oublier cette tâche ménagère pour un moment de détente au milieu des étoffes.

Née en Allemagne en 1989, Jessica Hartley alias Rouge, arrive en France à l’âge de dix ans. Au cours de ses études à l’École des Beaux-arts de Bordeaux, elle oriente sa pratique artistique vers la peinture figurative. Une approche, qui selon l’artiste, est quasiment à contre-courant dans une formation qui met en avant des pratiques artistiques dites « moins académiques ». Elle reconnaît qu’il est alors difficile de se faire une place et de se faire entendre. C’est finalement dans l’espace public et sur les murs qu’elle exprime librement sa vocation. Elle livre une peinture figurative aux sujets engagés et accessible par tous.

 

ROUGE : Instagram
Texte : Les Têtes Renversantes
Photos : ©Elohize.digi

Le Mur Nantes

Dialogue avec Rouge Hartley 1/2

L’artiste-peintre Rouge Hartley était l’invitée de Plus de Couleurs pour l’inauguration du projet Le Mur Nantes. A cette occasion, nous avons pris le temps d’échanger sur sa réalisation, son parcours, ses histoires

Dialogue avec Rouge Hartley 2/2

Dans cette deuxième partie nous avons discuté des différents styles présents dans l’art urbain et des subtilités de la création dans l’espace public. Rouge nous explique également en quoi sa peinture est féministe et nous raconte les histoires qui se cachent derrière cette énorme pierre.

TEASER #0

À l’occasion de cette première réalisation sur la façade de Trempolino, l’équipe de Plus de Couleurs a convié Adrien Ledoux, graphiste et concepteur de la charte graphique du projet LE MUR NANTES.

Le support devenu affiche géante est utilisé afin d’annoncer le lancement du projet en janvier 2021 et permet de mettre en valeur l’identité graphique imaginé par Adrien.

Cette réalisation a duré 4 jours et sera visible jusqu’au 16 janvier 2021, date à laquelle le premier artiste invité prendra place pour remplacer la fresque actuelle.

LE MUR NANTES

Interview équipe Plus de Couleurs, porteurs du projet Le Mur Nantes.

Interview Adrien LEDOUX, artiste/graphiste, auteur de l’identité visuelle Le Mur Nantes.

NOS PARTENAIRES

LNA Sante Mecene
TREMPOLINO
Ville de Nantes / Nantes Metropole